Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


La baisse des prix du petrole va faire tomber beaucoup de masques par Sid Kaci

Publié par The Algerian Speaker sur 19 Décembre 2014, 14:24pm

Catégories : #DEBATS A BATONS ROMPUS(hiwar bila houdoud)

Image d'un jour, image de toujours
Image d'un jour, image de toujours

Amara Benyounes, ministre algérien du Commerce, a déclaré que la politique des subventions énoncée dans la loi des finances 2015 "ne sera pas revue" en dépit de la chute des cours de pétrole, rapporte aujourd'hui 18 décembre l'APS, à l'issue d'une séance de travaux du Conseil de la Nation, tenue jeudi à Alger. L'Algérie "ne touchera" à aucune de ses subventions. "Le pays n'est pas dans une situation de crise (...) et dispose suffisamment de ressources financières" pour se prémunir de la baisse constante des prix de pétrole, a indiqué Amara Benyounes. La crise que subit le marché du pétrole n'influencerait pas non plus l'approvisionnement du marché algérien, selon la même source. Le sucre, l'huile, la semoule, le lait et les carburants constituent les principaux produits de première nécessité subventionnés par l'État. Les subventions sont estimées en 2015 à 60 milliards de dollars, l'équivalent de 30% du PIB de l'Algérie. Soulignant par ailleurs l'augmentation continue de la facture des importations, M. Benyounes a indiqué que les achats de certains produits secondaires "ne pourrait être interdits". L'Algérie est sortie de la gestion administrative du commerce", laissant désormais libre cours "à la loi du marché", en faveur "des règles du commerce extérieur et de la liberté des échanges" stipulée.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents